Dans la lignée des poèmes I et II. A bon entendeur ...
Indolent compagnon de la haine ordinaire,
Tu regardes sans voir et passes ton chemin.
Mais les fous sont partout, vois donc ces mercenaires,
Indolent compagnon de la haine ordinaire,
Qui insultent et rabrouent ; s'improvisent tortionnaires
D'un quidam - sans raison ! - ; pourquoi pas toi demain ?
Indolent compagnon de la haine ordinaire,
Tu regardes sans voir et passes ton chemin.
Marcel Shagi
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